Lors de la création du cabinet dentaire, différentes possibilités s’offrent au praticien : entreprise individuelle, société d’exercice libéral, société civile de moyen, création de société civile immobilière…

Mais il faut à notre avis être pragmatique et aller au plus simple et au plus efficace.

C’est la raison pour laquelle, la forme individuelle doit être privilégiée dans la mesure où vous êtes amené à exercer seul votre activité. Créer dès l’origine une société d’exercice libérale à responsabilité limitée vous priverait de pouvoir céder ultérieurement votre fond libéral à ladite Selarl et ainsi de vous refinancer.

En outre, dans le cadre du commencement de votre activité, le chiffre d’affaires de démarrage ne justifie pas, en général, de mettre en place une société d’exercice libéral.

Sur le plan fiscal, vous serez taxé selon le régime des bénéfices non commerciaux, dont le principe de base est une imposition en fonction des recettes encaissées et des charges décaissées.

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Date

22 avril 2021

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Le Fil Dentaire

Catégorie

Revue de presse