Les prélèvements sociaux ne font que croître. De 1.1% en 1991, ils s’élèvent à 17.20% en 2018.
La stratégie des revenus fonciers peut donc s’avérer très pénalisante, notamment lorsque le bien est financé par emprunt. Le capital de l’emprunt n’étant pas déductible, la soumission aux prélèvements sociaux et à l’impôt sur le revenu du bénéfice foncier dégagé dans la tranche marginale est particulièrement onéreuse.
Il peut donc être approprié de revoir sa stratégie fiscale en la matière.
Quelques questions simples à se poser pour démarrer efficacement votre réflexion :
- Depuis quand suis-je propriétaire du bien ?
- Quel est le capital restant dû de l’emprunt à rembourser ?
- Quelle est la valeur vénale dudit bien ?
- Quel était son coût d’achat ?
- Quelle est la rentabilité brute dégagée avant fiscalité ?
- Quelle est la rentabilité nette dégagée après fiscalité ?
- Comment éventuellement intégrer ses enfants dans un schéma de transmission ?
…Et c’est là que tout commence !